Et un écuyer de plus!

Jiian ou Jiji est un jeune homme aux cheveux d’onyx bouclé, on pourrait croire qu’ils sont tout le temps humides mais, cela n’est qu’une illusion. Ses yeux sont d’un bleu turquoise qui brille comme deux petits soleils. Son visage est assez carré et cela lui enlève toute finesse de son enfance. Jiian a presque atteint sa taille adulte mais, il trouve encore, qu’il est trop petit du haut de son mètre quatre-vingt. Sa carrure est celui d’un guerrier qui s’entraîne depuis sa jeune enfance. Jiian aime son habit d’écuyer mais, il apprécie aussi des vêtements plus simples pour passer inaperçu.

Jiian est quelqu’un qui tient beaucoup de son maître qui est à ses yeux une personne parfaite mais, si cela n’est pas le cas. Celui-ci est quelqu’un d’assez calme, pourtant il apprécie aussi les fêtes ou la joie de vivre est à son sommet. Jiji apprécie autant la solitude que la compagnie des membres de l’ordre émeraude. Doux et tendre, Jiian n’est pas le genre a attaqué sans raison, il a besoin de se sentir menace avant de faire quelque chose. Outre son calme, on peut souvent voir de la malice dans son regard. Ses défauts, comme tout le monde il en a plusieurs. Le premier, il est quelqu’un de très curieux qui adore savoir et apprendre. Le deuxième, Jiian fait souvent trop rapidement confiance à une personne inconnue. Et un de ses autres défauts à ses yeux, c’est qui ne peux aucunement frappe une femme car il préfère lui faire des doux compliments.

La saison des pluies étaient à son apogée. Alors que la pluie tombée sur le toit de la petite maison d’Argent, un cri retenti dans l’air. Un bébé encore sale prenait c’est première bouffes d’air, bougeant avec vigueur mais ce calmant tout de suite alors que sa mère le prenait dans ses bras. Jiian venait de voir le jour, dans un petit village d’Argent. D’une mère paysanne et d’un père soldat au château du roi.

Deux ans plus tard, Jiji le sourire aux lèvres, courait autour de sa mère en l’appelant de sa voix douce remplie d’amour. Le petit garçon aidait sa mère dans ses tâches. Il ramasse des tous petits morceaux de bois pour le feu. Certain plus gros d’autres, le faisait tomber en arrière alors qu’il essayait de tire de toutes ses forces dessus mais, il essayait encore et encore. Ou alors il l’aidait à nettoyer les vêtements enfin plutôt éclaboussé les vêtements dans des rires cristallins. Mais, il finissait toujours par arrête et aller se jeter dans les bras forts et puissants de son père qui rentrait au foyer.
Deux nouvelles années s’étaient écoulées dans le bonheur de la petite famille, quand la mère de Jiji accoucha une nouvelle fois mais, cette fois-ci d’une petite fille. La famille grandissait au fur et à mesure dans le bonheur le plus totale. Alors que sa sœur voyait le jour, Jiian lui s’amusait à essayer à soulève l’épée de son père mais, au bout de quelques minutes prit une épée en bois et se mit à combattre les démons de son imagination.

Alors qu’une nouvelle journée commence, son père avait décidé de lui apprendre les rudiments de l’écriture qui lui permettrait de lui facilite le choix de son futur métier. Forgeron, cordier, laboureur ou tous autres métiers qui pourraient plus plaire. Sa permettait aussi à sa mère de se repose de ce garçon plein de vie. Jiian ne comprenait pas grand-chose au symbole que son père lui montrait et il disait qu’il préfère combattre avec son épée en bois. Alors que son père lui demanda d’aller chercher un livre, il utilisa sa lévitation pour amener le livre jusqu’à lui avec un grand sourire. Le soir le père parla de l’événement de la journée à sa femme et malgré la douleur de se sépare de leur premier enfant, ils décidèrent d’envoyer celui-ci étudier au château d’Emeraude.

Jiian avait eu du mal les premiers jours loin de ses parents qui lui manquaient mais, peu à peu l’ambiance des autres enfants lui donna le courage qui lui manquait pour qu’il arrête de pleurer et commence à vivre comme ceux. Les années s’écoulèrent et l’adoubement eu lieu au château d’Emeraude. Jiji était à la fois impatient et stressé, quel chevalier aura-t-il pour maître. Quand son nom retenti, il fut suivi par celui du chef des chevaliers lui-même. La belle et impressionnante Tari. Depuis, il ne cesse de s’entraine avec ou sans elle afin qu’elle soit fière de lui.