Avina(finie).

Avina a des cheveux noir de nuit et très lisses. Du genre ou on ne trouvera aucunes autres couleures et ou ne peut même pas imaginer des cheveux blancs un jour. Parfois on lui demande si elle a des ancêtres Jadois, car ils sont forts es semblables. C'est possible, si elle vient surement d'un pays de la côte, sa mère ou son père ont pûs venir de là-bas. Elle a de grands yeux sombres et rouges, une anomalie génétique sans doute. Elle est petite et elle est toute fine, elle fait fragile. Au début, son bras ne parvenait même pas à soulever une épee ! Mais son corps est maintenant plus musclé grâce à son entrainement et si elle ne brillera jamais par sa force, elle est capable de manier des armes sans problemes. Elle ne porte pas la tunique verte des chevaliers d’Emeraude mais un ensemble vert mais "personaliser" ainsi qu'une épée. Cette épée est particulière car elle a été forgé par un maître magicien il y a fort longtemps. Elle est inaltérable et se transmet dans la famille. Sa garde est décorée d'arabesques et l'épée en elle-même est faite d'un mélange d'acier et de bronze qui la rend particulièrement tranchante et solide. Elle est incassable grâce à la magie et produit parfois des étincelles quand elle se bat. Une veinure rouge fluorescente la parcourt de haut en bas. Elle porte un débardeur et un pantalon de toile verte et à sa taille une ceinture de cuir où pend son épée. Ses bottes sont aussi en cuir renforcées par du fer. Elle maintient souvent une attitude arrogante sur son visage qui donne parfois l'impression qu'elle se moque des gens. Elle a la démarche légère et un corps aussi souple que certains acrobates. A son coup, elle a un collier en métal, des plaques pas grosses reliées entres elles par une ficelle.

Avina peut faire preuve d’arrogance mais jamais de méchanceté, au contraire elle déteste la cruauté gratuite et ceux qui la pratique. Elle est toujours prête à aider les autres en cas de besoin mais elle ne ressent pas de pitié. De la compassion oui, mais pas de pitié. C'est une chose étrange et elle le sait, mais elle est comme-ça. Elle n’attend que l’ordre de se jeter dans la bataille, elle aime ce battre et c'est une vrai casse-cou, mais elle cherche avant tous à tous résoudre sans la violence. Sa morale surement. Elle sait que c'est mal et que même si elle aime se battre, se battre n'est pas toujours la solution. En cours avec la magicienne, elle n'a jamais été studieuse, elle est plutôt du genre à apprendre par expérience et sur le terrain, parfois en tatonnant. Elle est irréfléchie et parle parfois trop vite ce qui lui vaut parfois des ennuis mais c'ets quelqu'un d'aimable qui est assez appréciée. Elle ne voit dans l'existence de l'Ordre qu'une façon de décourager l'ennemie et un Ordre de parade. Et un bon moyen d'avoir une chambre au chateau et un lieu pour manger. Mais elle lui reste fidèle et le suivra partout. Etre fidèle c'est une autre de ses qualitées, elle ne trahis pas ses amis, et ceux à qui elle a prêté allégeance. Les Dieux par-exemple. Sa famille adoptive lui a apprit à les respecter. Elle croit vraiment qu'ils sont les meilleurs et ne leur veulent que du bien. Elle sait que certains pourraient peut-être proposer mieux qu'eux, comme les Dieux Déchus, mais elle ne peut tout simplement pas les renier.

Avina n'est pas vraiment Zénoroise, on ne sait pas vraiment d'où elle vient, probablement d'un pays cotier. C'est une enfant abandonnée. Un jour, une jeune Zénoroise tout juste mariée longeait la mer à la recherche de coquillages et d'huitres pour le diner du soir. Elle aperçu une barque échouée le long de la côte. Elle s'approcha et eut la surprise de sa vie : dedans pleurait un nourisson. Il semblait affamée et devait être dans la barque depuis au moins une journée. Il était dans un berceau qui le protégeait du soleil mais il faisait une chaleur étouffante. A-côté d'elle, car le bébé était une fille, se trouvair une lettre. Elle la déplia et la lut. La lettre était maculée de larmes et rédigée rapidement. Elle disait ceci :

" Notre bateau est attaquée par des monstres dont j'ignore le nom. Nous nous sommes retranchés à l'arrière du navire, les hommes les tiennes en respect, mais c'est la fin pour nous je le sais. Mais le caneau est à côté et je pourrais peut-être sauver ma petite fille, ces monstres seront trop occupés à festoyer sur nos restes pour s'occuper d'elle. A toi étranger, qui trouvera Avina, élève la comme ta propre fille je t''en prie, fait en quelqu'un de bien et transmet lui mon amour et celui de son père. Quand elle sera assez âgée, montre lui cette lettre. Bonne chance dans ta vie ma petite fille. ''

Emue par le sort de ces étrangers qu'elle n'avait jamais vu mais qu'elle connaissait un peu à travers cette lettre, la paysanne de Zénor qui se prénommait Enja, décida de la ramener chez elle et d'exaucer le voeu de sa mère biologique. Son mari accepta l'enfant avec joie et elle fut bien élevée et avec beaucoup de soins. Ses parents adoptifs ne lui cachèrent jamais qu'elle n'était pas leur vraie fille, et comme elle le sut depuis toujours, elle n'en fut pas choquée. Après elle, le nouveau couple eut quatres enfants qui la considérèrent comme leur soeur. A 2 ans seulement, elle souleva les assiettes quand ils dinaient pour jouer. Elle refit de la magie de nombreuses fois et ses parents tentèrent de la lui faire utiliser pour aider les récoltes. Elle essayait mais elle avait du mal. Enja et Triniton, son mari, comprirent qu'elle perdrait son don si elle n'apprenait pas à le maitriser. Ils avaient entendus parler des Chevaliers d'Emeraudes aussi ils l'envoyèrent au chateau. Ils lui promirent que une fois qu'elle serait écuyer, ils viendraient s'installer à Emeraude pour la revoir. Elle pleura mais ne put s'y opposer. Avina fut une élève bien dissipée mais elle apprit tout de même à maitriser sa magie sans problème et ne regrette plus le choix de ses parents, au contraire elle leur en est reconnaissante.

Quelques jours après être devenue écuyère, Enja et Triniton tinrent leur promesse et vinrent s'installer à Emeraude dans la campagne. Ils la rejoignirent au chateau seulement une fois, pour la féliciter et lui remettre deux objets : la lettre de sa mère qui la bouleversa et l'épée qu'elle a toujours aujourd'hui avec l'accord de son maître. La lettre la bouleversa car au fond d'elle elle nourrissait toujours l'espoir de retrouver ses parents. Elle comprit enfin pourquoi on l'avait abandonné. Avant, ses parents adoptifs ne voulaient pas répondres à sess es se questions. Maintenant elle veut savoir ce qui leur est arriver et peut-être retrouver des frères ou des soeurs, des cousins... son pays, ses origines. Elle fut très honorée par l'épée. Elle ne portait pas de nom mais signifiait beaucoup : dans la famille, la tradition était de la remttre à l'ainée, même s'ils n'étaient plus des guerriers depuis longtemps. Elle était magique et n'avait même pas pensé que ce soit à elle qu'on lui donner car elle n'était pas leur vrai fille. Ce fut le plus beau cadeau de sa vie, et se savoir appartenant vraiment à la famille l'aida à se remettre du fait d'avoir appris que ses parents avaient étés tués et surement mangés par les monstres.

Elle les revit parfois à la campagne. Pendant l'attaque du chateau par les Isparins, son maitre mourut et elle devint Chevalier, passant par la même occasion de 15 à 20 ans. Aujoud'hui elle est donc Chevalier mais nourrit l'espoir qu'un jour ils quittent Emeraude, ce qui lui permettrait de commencer véritablement ses recherches.