Lavann D'émeraude / Réfugier de Fal (Fini)

Nom : Lavann
Age : 14 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Royaume de naissance : Fal ou se qui en reste je dirais ^^'
Rôle : Écuyer
Allégeance : Aux chevaliers

Description physique : (5 lignes minimum)
Le physique, comment d’écrire ce que je suis. N’étant pas encore adulte je pourrais dire que je suis grand. Très grand pour mon âge, mais mes parents mon dit que je devais avoir eu une poussée de croissance avant mon temps. Grand ou pas, je ne comprends pas se que sa change pour moi. Du haut de mon mètre quatre-vingt, je présente un corps que j’ai musclé en travaillant la terre avec mes parents jusqu’à ce que je me retrouve au château. De bons bras qui ne demande cas être utilisé et renforci. Mon corps en début d’adolescence se présente bien. Mon visage à une forme entre le triangle et l’ovale. Mon nez est petit et pointu. Pas tant, mais il fini vraiment avec une petite pointe. Mes lèvres sont d’un ton rosée et affiche très souvent un joli sourire. Mes yeux eux son très grand. On m’a toujours complimenté pour mes yeux. Ils sont aussi quelque chose qui me distingue de ma famille qui porte tous des yeux de couleurs noisette. Les miens sont d’un bleu ciel éclatant et sous de petit sourcil blond. Blond et oui, je suis blond. Mes cheveux sont clair, pas assez pour les rendre blancs, mais quand même. Mes cheveux ont toujours été coupés, je n’ai jamais préféré les avoirs longs, mais je les laisse dépasser mes oreilles. Une petite mèche rebelle me tombe toujours entre les yeux, mais elle ne me dérange pour rien au monde. Mon teint, je ne pourrais pas me classer de bronzer ou mulâtre, mais je ne suis pas non plus d’un blanc neige. On peut voir un petit bronzage qui me vient de mon pays natal, mais pas plus.

Description psychologique : (5 lignes minimum)
La psychologie, toujours la partie la plus difficile à parler d’une personne. Moi je ne sais même pas comment me décrire. Très souvent lorsqu’on me demandait de me décrire je ne pouvais même pas répondre. Maintenant, je crois pouvoir parler un peu de moi. C’est encore très difficile, mais je fais du mieux que je peux. On m’a toujours décrit comme un enfant très sage et je le suis. J’ai grandi en sagesse, j’ai toujours apprit à obéir à ceux qui sont plus élevé que moi dans la hiérarchie. Ce n’était pas difficile, je suis dans le bas. Je suis quelqu’un presque toujours de bonne humeur, un sourire parcours très souvent mes lèvres. Cependant, j’ai aussi mes moments plus sombres. Le plus gros problème que j’ai c’est que je suis pessimiste. Je n’ai aucune confiance en moi et cela me rends très souvent négatif, mais j’essaie de ne pas le démontrer. De plus je suis quelqu’un de gêner, alors la quand je parle avec un adulte ou une fille je ne peux m’empêcher de faire vite et cela me rends souvent incompréhensible. J’aurais aimé avoir le don de composer des poèmes, mais je ne suis qu’un paysan et je n’ai reçu que très peu d’éducation. Cela ne m’empêche pas de vivre le jour même. Étant de nature obéissante, je n’ai jamais eu de difficulté avec les autres et maintenant je prends même soins de tout le monde.

Histoire : (10 lignes minimum)
Une grande forêt habitant énormément de personne au beau milieu d’un désert rempli de minuscules prédateurs. Voilà ce qu’étais Fal. Voilà ce que j’ai appris sur ma terre natale. Maintenant à quoi pouvais-je vraiment m’attendre, ce n’était plus qu’un simple désert et on pouvait trouver encore quelque palmier. Une chance il y avait encore de la vie et quelque chose de bon sur cette terre. La guerre avait tout rasée, je n’aurais jamais cru avoir autant de chance. Mes parents était des survivants, s’il n’aurait pas survie je ne serais pas là pour raconter mon histoire.

Je suis née quelques années après la reconstruction de la ville de Fal par le prince survivant. On n’était sur la bordure du désert, mais au moins les survivants avait réussit à reconstruire près de source d’eau. Avec beaucoup de chance plusieurs palmiers poussaient dans ce coin du royaume. La nourriture n’était pas en abondance, mais au moins les fruits des palmiers étaient exquis. Jamais je n’aurais cru pouvoir survivre en mangeant que des fruits, mais c’est arrivé. Ma naissance fut lors de la saison de pluie, c’était la meilleure saison dans un coin aussi reculé que Fal. La saison d’été était torride et les bébés pouvaient facilement mourir lors de la saison d’été. Mes parents n’étaient pas de grand et valeureux guerrier et de la cour royale, mais ils étaient des paysans dévoués. Ils avaient prit la reconstruction de la ville à cœur, mais avait décidé de construire leur habitation un peu plus à l’écart des autres.

Fal allait renaitre de ses cendres. Ma naissance ne fut pas aussi pire que je pouvais le laisser croire. Cependant, j’avais donné du fil à retorde à mes parents. Dès ma naissance, des pouvoirs magiques firent peur à mes parents qui crurent pour le mieux de me cacher aux yeux des autres villageois. Ils ne pensèrent même à m’envoyer à Émeraude. Pourtant, ils avaient eux aussi entendu le message qu’on cherchait des enfants magiques. Ma vie aurait été grandement différente si j’avais grandi à Émeraude. J’aurais appris à contrôler mes pouvoirs depuis longtemps. Cependant, mes parents me gardèrent pour eux, me faisant travailler la terre. Ils eurent besoins d’énormément d’aide et ils furent content de ne pas m’envoyer à Émeraude. J’étais né avec un don, le don de contrôler l’air. Je n’avais jamais vraiment compris comment utiliser ce don, mais mes parents réussirent à l’utiliser malgré moi.

La construction c’était effectuer très vite. Même avec la saison chaude, un vent froid parcourait la maison aidant grandement la vie. Le manque de plante rendait la vie difficile, mais avec tout l’air qui circulait autour de la maison mes parents ne penser même pas à cela. Les premières années de ma vie s’était passé comme tous les enfants de mon âge. J’avais vieilli et grandi rapidement. Mes parents disait que j’avais eu ma pousser de croissance tôt. Cela expliquait pourquoi je dépassais maintenant mon père. Je n’avais jamais porté attention à des détails comme celui-là.

Ce qui changea ma vie, fut lors de mes quatorze ans. J’avais demandé de visiter le reste du village. Étant assez vieux, ils acceptèrent de me laisser partir voir le reste de la ‘’ville’’. Lors de mon approche de la ville, je vis plusieurs personnes courir dans une direction. Plusieurs était armée et porter du métal sur eux. Étant jeune la curiosité venu immédiatement. Je me dirigeai vers l’endroit où tout le monde se dirigeait. En arrivant, je vis ce qui se passait. Des paysans s’attaquaient à coup d’épée. Les hommes habiller de métal essayaient de les séparer, mais n’avait pas l’air de réussir. Je ne compris pas pourquoi, mais quelque chose dans ma tête me fit lever les mains vers les hommes pour les écarter. Lorsque mes mains arrivèrent à leur hauteur un énorme vent se forma pour laisser place à une mini tornade entre les deux hommes. Je fus surpris par ce phénomène, les personnes autour de moi essayaient de se protéger les yeux du sable qui volait vers leurs yeux. Je n’étais même pas conscient, j’avançais vers la tornade sans en être conscient. Lorsque ma main toucha le vent la tornade s’arrêta.

C’était un miracle, j’avais peur, mais en même temps je ne pouvais pas croire ce que je voyais. Les gardes me ramassèrent par le bras et m’apporta avec eux. Je ne sus pas où ils m’avaient emmené, mais mes parents arrivèrent peux de temps plus tard l’air effrayer. Un homme entra derrière eux et leur parla. Je ne pus comprendre ce qu’il disait, mais mes parents acceptèrent. En sortant du bâtiment où on m’avait emmené, une charrette attachée à deux chevaux nous attendait. Mes parents me firent grimper en premier, lorsque je fus abord ma mère me serra contre elle pleurant tous les larmes de son corps. Je ne comprenais pas ce qui se passait autour de moi. Lorsque la charrette passa devant notre maison sans s’y arrêter je fus prit de panique. Avions-nous été exilés par ma faute? Étais-ce pour ça que ma mère pleurait? Je ne savais pas. Le voyage dura deux même trois jours, nous arrêtions souvent pour manger quelques fruits et faire boire les chevaux, mais nous repartions immédiatement après. Nous campions dans la charrette la nuit. Au bout des trois jours, je vis une immense forteresse. C’était bien sur la première fois que je voyais un château, mais celui-là était magnifique. En arrivant dans la cour du château, je pus voir plein de personnes habiller avec des habits vert sorti de pierre. Ils étaient tellement beaux dans cette armure. Je ne pouvais même plus penser à autre chose, je voulais en avoir une.

Mes parents me laissèrent dans la cour pendant quelque minute. Me disant qu’il devait parler avec quelqu’un. Lorsqu’il revint dix minutes plus tard, ma mère me prit dans ses bras et m’embrassa sur le front. Mon père dévisagea puis me remit un petit couteau. Ce fut tout, ils me dirent rien de plus avant de m’abandonner à mon sort au beau milieu de cette gigantesque cours rempli de personne en vert.

Famille, ascendance :
Et bien.. Que dire sur ma famille? Je ne suis qu'un simple paysan.
Ma famille a toujours vécu sur les terres de Fal jusqu'à sa destruction et avec chance ils ont réussi à fuire.

Pouvoirs et compétences :
Les pouvoirs des Écuyers bien sur.
J'aimerais aussi avoir le contrôle de l'élément AIR

Connaissances particulières :
Pas à ce que je sache?!


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